PREFACE
fections contre-nature, et pour y remédier, faisoit en quelque sorte un art particulier. Mais quels fruits pourroit porter cette branche, étant separ¢e du tronc?. Il est bien prouvé, par les faits, que les progres de cette partie de la chirurgie ne sont dis quiaux grands Maitres qui ont pratiqué Part dans toute sa plénitude, et dont l’ex- ‘périence, relative aux maladies des yeux, a été éclairée par les lumiéres que leur avoient données les principes qui consti- tuent indivisiblement la science, sans la- quelle on ne peut excrcer aucune partie avec connoissance de cause.”—First Limes
of the Practice of Surgery, Vol. I. p. 433.
4th edit.
In this country, I believe no one before myself, who designed to practise general surgery, ventured to give more than a cursory attention to the diseases of the eye. A fear of heing disqualified in pub- lic opinion, by a reputation acquired in these, for the treatment of other diseases, was a motive, however groundless, sufli- cient to deter surgeons from the culti- vation of a large pad Ronin field of - observation and Pe �