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Mi\SSACH.E OF ST. BARTHOLOMEW 1 2 7

!(in a and that his most g rievous sorrow was that he left b' the work unfinished. l In all that blood-stained history there is nothing more tragic than the scene in \vhich the last words preparing the soul for judgment were spoken by such a confessor as Sorbin to such a penitent as Charles. Edmond Auger, one of the most able and eloquent of the Jesuits, ,vas at that time attracting multitudes by his sermons at Bordeaux. He denounced with so much violence the heretics and the people in authority who protected them, that the magistrates, fearing a cry for blood, proposed to silence or to moderate the preacher. Montpezat, Lieutenant of Guienne, arrived in time to prevent it. On the 30th of September he wrote to the King that he had done this, and that there were a score of the inhabitants who might be despatched \vith advan- tage. Three days later, \vhen he \vas gone, more than two hundred Huguenots \vere murdered. 2 Apart from these two instances it is not known that the clergy interfered in any part of France to encourage the assassins.

1 11 commanda à chacun de se retirer au cabinet et à moy de m'asseoir au chevet de son lict, tant pour ouyr sa confession, et luy donner ministérialement absolution de ses péchez, que aussi pour Ie con soler durant et après la messe (Sorbin, Vie de Charles IX,: Archives Cllrieuses, viii. 287), Est très certain que Ie plus grand regret qu'il avoit à l'heure de sa mort estoit de ce qu'il voyoit l'idole Calvinesque n'estre encores du tout chassée (Vray resveille-matin, 88). 2 The charge against the clergy of Bordeaux is brought by D'Aubigné (His/oire Universelle, ii. 27) and by De Thou, De Thou was very hostile to the Jesuits, and his language is not positive, D'Aubigné was a furious bigot, The truth of the charge would not be proved, without the letters of the President L' Agebaston and of the Lieutenant Montpezat: .. Quelques prescheurs se sont par leurs sermons (ainsi que dernièrement j'ai escript plus amplement à votre majesté) estudié de tout leur pouvoir de troubler ciel et terre, et conciter Ie peuple à sédition, et en ce faisant à passer par Ie fil de l'espée tous ceulx de la prétendue religion réformée, . . . Après avoir des Ie premier et deuxième de ceste mois fait courrir un bruit sourd que VOllS, Sire, aviez envoyé nom par nom un rolle signé de votre propre main au Sieur de Montferaud, pour par voie de fait et sans aultre forme de justice, mettre à mort quarante des principaulx de cette vi1le , . ," (L'Agebaston to Charles IX" Oct. 7, 1572; Mackintosh, Hi. 352). .. J'ai trouvé que messieurs de la cour de parlement 2.voyent arresté que Monsieur Edmond, prescheur, seroit appellé en ladicte court pour luy faire des remonstrances sur quelque langaige qu'il tenoit en ses sermons, tendant à sédition, à ce qu'ils disoyent, Ce que j'ay bien voullu empescher, craignant que s'il y eust esté appellé cella eust animé plusieurs des habitants et estre cause de quelque émotion, ce que j'eusse voluntiers soufÍert quant j'eusse pansé qu'il n'y en eust qu'une vingtaine de despéchés" (Montpezat to Charles IX., Sept. 30, 1572; Arc/zives de la Gironde, viii. 337).