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subdivisions^[1] and I maintain the correctness of my original proposition,—that if a certain proportion of

↑ M. de Lavelcye is evidently of opinion, that unless where the land is cultivated by the owner, the minute subdivision of the soil under a system of petite culture, and the intense competition it engenders, is productive of great misery to the agricultural class. In this view I cordially agree.
"A la vérité, il parait que, dans certâines provinces françaises, notamment en Alsace et en Lorraine, on se plaint de l'excès de la division du sol, qui compêche un assolement rationnel de s'établir, et qui arrête l'extension des cultures fourragères."—Eco. Rur. 53.
"Ce n'est pas à dire que la subdivision des exploitations soit im idéal à proposer aux sociétés modernes, car elle exige de l'homme un redoublement de travail et d'efforts peu compatible avec le développement de ses facultés intellectuelles; mais au sein de l'organisation actuelle, et en Flandre, on pent affirmer qu'elle n'a eu jusqu'à ce jour que des résultats avantageux, au moins pour la production et pour la rente."
Eco. Bur. 55.
The pleasure M. de Laveleye evidently takes in describing those parts of the kingdom, which though less productive are not cultivated under the pressure of such intense competition, is very remarkable.
Speaking of the Eastern District of Belgium, he says:—
"On ne rencontre que rarement ici les tempéraments lymphatiques, dus à une alimentation exclusivement végétale. Le paysan a le teint animé et chaud, la chair ferme, l'œil vif et la jambe nerveuse; il est toujours bien vêtu et bien chaussé, et s'il élève un porc, ce n'est pas pour le vendre afin de payer sa rente, mais pour en manger le lard avee ses pommes de terre. La main-d'œuvre se paie cher: on n'obtient guere un journalier à moins de 1 franc 75 cent, ou 2 francs, et encore à ce prix ne pourrait-on réunir un grand nombre d'ouvriers. En même temps que le salaire est élevé, les denrées sont à bon compte; il y a done double avantage pour celui qui doit vendre son travail et acheter sa nourriture. Avec sou doux climat,

[p212-1] M. de Lavelcye is evidently of opinion, that unless where the land is cultivated by the owner, the minute subdivision of the soil under a system of petite culture, and the intense competition it engenders, is productive of great misery to the agricultural class. In this view I cordially agree.
"A la vérité, il parait que, dans certâines provinces françaises, notamment en Alsace et en Lorraine, on se plaint de l'excès de la division du sol, qui compêche un assolement rationnel de s'établir, et qui arrête l'extension des cultures fourragères."—Eco. Rur. 53.
"Ce n'est pas à dire que la subdivision des exploitations soit im idéal à proposer aux sociétés modernes, car elle exige de l'homme un redoublement de travail et d'efforts peu compatible avec le développement de ses facultés intellectuelles; mais au sein de l'organisation actuelle, et en Flandre, on pent affirmer qu'elle n'a eu jusqu'à ce jour que des résultats avantageux, au moins pour la production et pour la rente."
Eco. Bur. 55.
The pleasure M. de Laveleye evidently takes in describing those parts of the kingdom, which though less productive are not cultivated under the pressure of such intense competition, is very remarkable.
Speaking of the Eastern District of Belgium, he says:—
"On ne rencontre que rarement ici les tempéraments lymphatiques, dus à une alimentation exclusivement végétale. Le paysan a le teint animé et chaud, la chair ferme, l'œil vif et la jambe nerveuse; il est toujours bien vêtu et bien chaussé, et s'il élève un porc, ce n'est pas pour le vendre afin de payer sa rente, mais pour en manger le lard avee ses pommes de terre. La main-d'œuvre se paie cher: on n'obtient guere un journalier à moins de 1 franc 75 cent, ou 2 francs, et encore à ce prix ne pourrait-on réunir un grand nombre d'ouvriers. En même temps que le salaire est élevé, les denrées sont à bon compte; il y a done double avantage pour celui qui doit vendre son travail et acheter sa nourriture. Avec sou doux climat,

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