small French proprietor to be so intolerable, that
left at their death?—The farmer generally leaves the farm to the boys, and leaves sums of money to the girls, if he has money; and sometimes he leaves money to be paid by the sons, which the sons are never able to pay."
R. F. Saunders, Esq., Land Proprietor and Magistrate.
Thos. Davidson, Agent.
commune de deux cents feux, peuplée d'environ mille individus des deux sexes, grands et petits, tours cultivateurs. Ils possèdent, entre eux tous, cinque cents hectares en bonne terre, c'est-à-dire un demi-hectare par tête. L'hectare vaut là de quatre à cinque mille francs. Done ces gens sont riches en comparaison de bien d'autres. En fait, rien de plus mal vêtu, mal logé, mal nourri; rien de plus misérable et de plus ignorant qn'eux. Ne les accuser pas de paresse ou d'ivrognerie, vous auriez tort; ils travaillent toute l'année et ne boivent guère que de 1'eau. Mais leurs propriétés sont si bien divisées qu'ils ne sauraient avoir ni pré ni herbage, et partant ni chevaux ni boeufs."—Le Progres, par E. About.
Of the present condition of the agricultural population we have an account by M. Thiers, in his speech in the French Chamber, on Saturday, the 10th of March, 1866:—"Si ceux qui m'interrompent avaient lu la multitude des ecrits que j'ai sous la main, écrits non pas signés pas des ecrivains s'occupant