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. iv. DEC. 23. iocs.] NOTES AND QUERIES. 505 Et ne publions pas que je ne suis qu'un sot." I'M in. .is aprus, par aventure, KM devisant aur la verdure, Devant le traitre confident, II se vanta, 1'amour eat imprudent, Qu'il avail fait une maitrease Aux environs. " Vas-tu la voir souvent ? Dit le fin oiseleur, que le caa InterBase. —Une fois chaque jour: encor n'est-ce paa tant Que je voudrais.—Est-elle jeune et belle? —Oui, monsieur.—Oil demeure-t-elle? —Oh ! palsangue ! nous y voila. Sans doute, et ce n'est pan pour entiler des perles Que vous me denmndez cela : A d'autres, denichenr de merles ! " At one time denicheur de fauvettes or de moineaux was applied to a chevalier d'in- dustrie, or a person keenly alive to his own interests, and not to be trusted. // ne faut was mettre tons ses oeufs dans un panier.—This phrase has, of course, its English literal equivalent, but the following rime by Boursault is a good illustration of its meaning :— Un homme avait des oeufs, et voulait s'en defaire; Pour ne pas a la foire arriver des derniers, Suoiqu'il put en remplir trois ou quatre paniera, mit tout dansun seul, et ne pouvait pis faire. Sa mule, qui suait sous le poida d'un fardeau Fragile comme du verre. Pour en dechar^er sa peau A quatre pas de la donna du nez en terre. Helas I a'ecria 1'honinie, a qui aon desespoir Inspira de vains preambules, Que n'ai-je mis mesceufa sur troia ou quatre mules ! Je ini'i M i- un malheur que je devais prevoir. Si le ciel veut me permettre De faire encor le metier, Je jure de ne plus mettre Toua mes ceufs dans un panier. Graisser la, patte.— To use palm-oil, bribe. According to La Mesangere, this phrase is found in & fabliau of the thirteenth century, from which he gives an extract:— "Une vieille femme avait deux vaches qui la faisaient subsister. Elles entrerent un jour dans les paturages du seigneur, et y furent saisies par son prevot. La bonne femme i 1'instant courut au chateau supplier cet officier de les lui rendre. II fit entendre qu'il lui fallait de 1'argeut; et celle-ci, qui n'avait rien a donner, s'en revint bien desolee. En chemin elle rencontra une de sea voiainea, qu'elle consulta sur son malheur. II faut en passer par ce qu'il demande, lui dit 1'autre, et vous resoudre .< lui grainser la patte. La vieille, qui etait fort simple, n'y entendit pas finesse; et prenant le con- seil a la lettre, elle mit dans sa poche un vieux morceau de lard, et retourna au chateau. Le seigneur se promenait devant sa porte, les mains derriere le dos. Ellea'avauce douceraeat aur lapointe du pied, et lui f rotte les mains avec son lard. II se retourne pour lui demander ce qu'elle fait: 'Ah! monseigneur, s'<-crie-t-elle en ae jetant a genoux, le preVut a saiai mes deux vaches dans votre pre, et ! nn m'a dit que si je voulais les ravoir, il fallait lui graisaer la patte. Je venais pour cela ; mais comme jevous ai vu a la porte, et que vous etea son maitre j'ai imaging que vous meritiez bien mieux qu'oD graiasat la votre." At the time when bell-cords were more- common than knockers, they usually ter- minated with the foot of a deer or other animal. Later, yraisser le marteau was sub- stituted for f/raisser lajxitte. but in the sense- of "to tip the porter." Cf. Racine's 'Lea- Plaideurs,' Act I. sc. i. EDWARD LATHAM. Eau Unite de cour (ante, p. 204).—In ' King Lear,' III. ii., the Fool saya : "O nuncle, court holy water in a dry house is better than this rain water out o' door." M. N. G. WAITS. (See 10th S. ii. 503.) — In 167!> Nathan Harrison, " musition," afterwards described as " wait," was admitted a freeman of York, "gratis" (Surt. Soc., vol. cii. 152, 218). Many minstrels, musicians, and harpers are mentioned in the same volume. The late Robert Davies, town clerk of York, supplied notes on the city waits in ' Marmaduke Rawdon' (Camd. Soc.), where it is recorded that the waits of Linlithgow, in 1664, had drums and bagpipes (pp. 136, 137). W. C. B. CHRISTMAS PIG'S-HEAD SOPPER.—It is a long time since I was present at a Christmas- pig's-head supper. But such suppers were common enough at this season when I was a- lad, and in many houses the Christmas pig's head was served at this meal, roasted generally, but sometimes boiled, and was looked upon as a great treat. It seems to> me that the Christmas pig's head in the poorer houses was an imitation of the boar's head in the greater houses. THOS. RATCLIFFE. Worksop. BLACK CAT FOLK-LORE.—For a black cat, a strange one, to enter a house without an invitation is considered to be a piece of good luck, if the cat is not driven out, but allowed to remain until it goes of its own will. Any kind of black cat brings good luck under such conditions, but if the cat has not a white hair to show, the good luck is stronger. This, with variations, is a pretty general belief. But there is another phase in which the appearance of a black cat in a sudden fashion is a portent of death—the worst of luck. This, however, necessitates the sudden ap- pearance of the black cat out of doors. It is the women folk who note and speak of such things as a rule, and so far it does nob seem that men are troubled in this way.