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THE AUTOCRAT OF THE BREAKFAST-TABLE.
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crayon dans une de ses poches pectorales, avec loquel il fait des marques sur les bords des journaux et des livres, semblable aux suivans:!!!—Bah! Pooh! Il ne faut pas cependant les prendre pour des signes d'intelligence. II ne vole pas, ordinairement; il fait rarement menie des echanges de parapluie, et jamais de chapeau, parceque son chapeau a toujours un caractère specifique. On ne sait pas au juste ce dont il se nourrit. Feu Cuvier était d'avis que c'etait de l'odeur du cuir des reliurcs; ce qu'on dit d'être une nourriture animale fort saine, et peu chère. II vit bien longtems. Enfin il mcure, en laissant à ses héritiers une carte du Salon à Lecture ou il avait existé pendant sa vie. On pretend qu'il revient toutes les nuits, après la mort, visiter le Salon. On peut le voir, dit on, à minuit, dans sa place habituelle, tenant le journal du soir, et ayant à sa main un crayon de charbon. Le lendemain on trouve des caractères inconnus sur les bords du journal. Ce qui prouve que le spiritualisme est vrai, et que Messieurs les Professeurs de Cambridge sont des imbeçiles qui ne savent rien du tout, du tout.

I think this exercise, which I have not corrected, or allowed to be touched in any way, is not discreditable to B. F. You observe that he is acquiring a knowledge of zoölogy at the same time that he is learning French. Fathers of families in moderate circumstances will find it profitable to their children, and an economical mode of instruction, to set them to revising and amending this boy's exercise. The passage was originally taken from the "Histoire Naturelle des Bètes Ruminans et Rongeurs, Bipèdes et Autres," lately published in Paris. This was translated into English and published in London. It was republished at Great Pedlington, with notes and