This page has been validated.
340
LECTURES ON MODERN HISTORY

Il y a toujours eu de la malignité dans la grandeur, et de l'opposition à l'esprit de l'Évangile; mais maintenant il y en a plus que jamais, et il semble que comme le monde va à sa fin, celui qui est dans l'élévation fait tous ses efforts pour dominer avec plus de tyrannie, et pour étouffer les maximes du Christianisme et le régne de Jésus-Christ, voiant qu'il s'approche.—Godeau, Lettres, 423, 27th March 1667. There is, in fact, an unconquerable tendency in all power, save that of knowledge, acting by and through knowledge, to injure the mind of him by whom that power is exercised.—Wordsworth, 22nd June 1817; Letters of Lake Poets, 369.

90 I cieli han messo sulla terra due giudici delle umane azioni, la coscienza e la storia.—Colletta. Wenn gerade die edelsten Männer um des Nachruhmes willen gearbeitet haben, so soll die Geschichte ihre Belohnung sein, sie auch die Strafe für die Schlechten.—Lasaulx, Philosophie der Künste, 211. Pour juger ce qui est bon et juste dans la vie actuelle ou passée, il faut posséder un criterium, qui ne soit pas tiré du passé ou du présent, mais de la nature humaine.—Ahrens, Cours de Droit Naturel, i. 67.

91 L'homme de notre temps! La conscience moderne! Voilà encore de ces termes qui nous ramenent la prétendue philosophie de l'histoire et la doctrine du progrés, quand il s'agit de la justice, c'est-à-dire de la conscience pure et de l'homme rationnel, que d'autres siècles encore que le nôtre ont connu.—Renouvier, Crit. Phil. 1873, ii. 55.

92 Il faut pardonner aux grands hommes le marchepied de leur grandeur.—Cousin, in J. Simon, Nos Hommes d'État, 1887, 55. L'esprit du XVIiie siècle n'a pas besoin d'apologie: l'apologie d'un siècle est dans son existence.—Cousin, Fragments, iii. 1826. Suspendus aux lèvres éloquentes de M. Cousin, nous l'entendimes s'écrier que la meilleure cause l'emportait toujours, que c'était la loi de l'histoire, le rhythme immuable du progrès.—Gasparin, La Liberté Morale, ii. 63. Cousin verurtheilen heisst darum nichts Anderes als jenen Geist historischer Betrachtung verdammen, durch welchen das 19. Jahrhundert die revolutionäre Kritik des 18. Jahrhunderts ergänzt, durch welchen insbesondere Deutschland die geistigen Wohlthaten vergolten hat, welche es im Zeitalter der Aufklärung von seinen westlichen Nachbarn empfangen.—Jodl, Gesch. der Ethik, ii. 295. Der Gang der Weltgeschichte steht ausserhalb der Tugend, des Lasters, und der Gerechtigkeit.—Hegel, Werke, viii. 425. Die Vermischung des Zufälligen im Individuum mit dem an ihm Historischen führt zu unzähligen falschen Ansichten und Urtheilen. Hierzu gehört namentlich alles Absprechen über die moralische Tüchtigkeit der Individuen, und die Verwunderung, welche bis zur Verzweiflung an göttlicher Gerechtigkeit sich steigert, dass historisch grosse Individuen moralisch nichtswürdig erscheinen können. Die moralische Tüchtigkeit besteht in der Unterordnung alles dessen, was zufällig am Einzelnen unter das an ihm dem Allgemeinen Angehörige.—Marbach, Geschichte der Griechischen Philosophie, 7. Das Sittliche der Neuseeländer, der Mexikaner ist vielmehr ebenso sittlich, wie das der Griechen, der Römer; und das Sittliche der Christen des Mittelalters ist ebenso sittlich, wie das der Gegenwart.—Kirchmann, Grundbegriffe des Richts, 194. Die Geschichtswissenschaft als solche kennt nur ein zeitliches und mithin auch nur ein relatives Maass der Dinge. Alle Werthbeurtheilung der Geschichte kann daher nur relativ und aus zeitlichen Momenten fliessen, und wer sich nicht selbst täuschen und den Dingen nicht Gewalt anthun will, muss ein für allemal in dieser Wissenschaft auf absolute Werthe verzichten.—Lorenz, Schlosser, 80. Only according to his faith is each man judged. Committed as this deed has been by a pure-minded, pious youth, it is a beautiful sign of the time.—De Wette to Sand's Mother; Cheyne, Founders of Criticism, 44. The men of each age must be judged by the ideal of their own age and country, and not by the ideal of ours.—Lecky, Value of History, 50.

93 La durée ici-bas, c'est le droit, c'est la sanction de Dieu.—Guiraud, Philosophie Catholique de l'Histoire.

94 Ceux qui ne sont pas contens de l'ordre des choses ne sçauroient se vanter d'aimer Dieu comme il faut.—Il faut toujours estre content de l'ordre du passé, parce qu'il est conforme à la volonté de Dieu absolue, qu'on connoit par l'évene-